Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui joue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ? En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, l’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort. (quatrième de couverture)

Nathy, une hôtesse de l’air a tout pour être heureuse : un mari aimant, Olivier, et deux filles. C’est sans compter avec sa rencontre avec Ylian, musicien raté dont elle tombe follement amoureuse. Et même si c’est réciproque, il la laissera retourner auprès de sa famille. Mais 20 ans plus tard, des séries de coïncidences parsèment la vie de Nathy et la conduisent à refaire le chemin qu’elle a partagé avec Ylian. Qui se joue d’elle ? Et pourquoi ! Au fil des pages on apprend que cet amour fou a laissé des traces.
Plus un roman d’amour que policier même s’il y a une intrigue. Un roman de Michel Bussi pour adultes édité aux presses de la Cité.
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