Une étude américaine a prouvé que caresser un chat diminuait le risque d’infarctus, mais il n’est pas encore dit que cela arrêtait les balles : le propriétaire d’un bar à chats lillois est retrouvé gisant dans une mare de sang au milieu de ses matous. Comble de l’infamie, le chat star du commerce, Ruru, manque à l’appel. La commissaire Romano est mise sur le coup, assistée de son adjoint Tellier – aussi terre à terre qu’elle est spirituelle et borderline. Étrangement, ce duo insensé fait des étincelles sur le terrain, et l’assassin voleur de chat (si tant est que ce soit une seule et même personne) va devoir user de mille ruses s’il compte échapper à ces deux enquêteurs de choc… (quatrième de couverture)

Le patron d’un bar à chats lillois est retrouvé mort une balle dans le ventre. Suicide d’un dépressif ou meurtre ? Vu sa femme, une véritable harpie, son passé d’alcoolique, la perte récente de sa mère, son père accusé autrefois de malversation, il a toutes les raisons d’en finir. Mais comme ça tout de même, il faut un sacré courage. La commissaire Romano et son équipe de bras cassés va devoir enquêter !
Un roman policier plein d’autodérision, un peu loufoque, sans être vraiment humoristique au point de rire. De Sophie Chabanel publié chez Seuil dans la collection cadre noir.