Panne de secteur

Biberonnée d’amour et de culture, Bérénice est l’enfant unique de Sylvie et Paul, archétype du couple de la classe moyenne. Obsédés par la réussite scolaire de leur fille, ils n’ont qu’une angoisse : voir son (très haut) potentiel gâché par la sectorisation, au nom du prétendu droit à l’excellence pour tous. Paul se met alors en tête de lui décrocher le Graal – une place sur les bancs d’Henri-IV –, et ce quoiqu’il en coûte. Mais c’est compter sans l’arrivée d’un beau chevalier, catapulté dans la classe de Bérénice par la grâce de la méritocratie républicaine, prêt à voler le cœur et les ambitions de leur princesse…
Avec un humour dévastateur, Philippe B. Grimbert nous plonge dans une tragicomédie résolument contemporaine sur les affres de la sectorisation et la (dé)formation des élites. (résumé éditeur)

Un père veut à tout prix que sa fille réussisse ses études. Il arrive par magouille à la faire rentrer au lycée Henry IV. Tout va bien jusqu’au jour où elle tombe amoureuse d’un garçon qui la quitte peu après. C’est la dégringolade ! Elle néglige ses études en classe prépa. Son père va alors payer le jeune homme pour qu’il continue à coucher avec elle afin de lui remonter le moral. Lorsqu’elle va apprendre la vérité elle va faire une tentative de suicide. Le père va alors tout perdre.

J’ai détesté ce roman. Autant par les personnages que par l’écriture ampoulée. Je n’y ai trouvé aucun humour.

Un roman pour adultes de Philippe Grimbert publié chez Le Dilettante.

A éviter.

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