Les femmes de Maisonneuve, Jeanne Mance

1937, la France est en guerre. Langres est assiégée, en proie à la peste. L’infirmière Jeanne Mance se dévoue à soigner les malades. Elle entend l’appel de la Nouvelle-France où les âmes païennes des indiens sont à convertir. Elle décide de se rendre à Paris pour trouver un soutien et partir fonder un hôpital dans ce nouveau pays. Jeanne Mance va donc participer à la mission dirigée par Paul de Maisonneuve qui deviendra au fil du temps son meilleur ami. Il vont remonter le Saint-Laurent jusqu’à l’île de Montréal pour fonder Ville-Marie et y installer un hôpital. Il faudra lutter contre les attaques sanglantes des Iroquois, chercher des fonds pour pérenniser son rêve et lutter contre les complots. La foi de Jeanne Mance est forte et la soutient dans son combat pour la réalisation de son œuvre.

les femmes de Maisonneuve

Richard Gougeon présente un roman historique sur la vie de Jeanne Mance, fille de Langres, considérée comme la cofondatrice de Montréal. Bien que romancé, ce livre peut presque être considéré comme un documentaire tant il est riche de détails (peut-être un peu trop pour les néophytes) aboutissant tout de même à un pavé de 500 pages. La vie de Jeanne Mance y est passée au peine fin depuis son départ de Langres jusqu’à son décès à Montréal. C’est la vie d’une femme forte, déterminée, poussée par la foi. Ce livre est idéal pour les férus d’histoire et ceux qui veulent en savoir plus sur la vie de la figure langroise qu’est Jeanne Mance.

Il est à noter que Richard Gougeon a publié un second volume des Femmes de Maisonneuve : Marguerite Bourgeoys toujours chez Les Éditeurs Réunis.

R GOU f

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