La nuit des hulottes

Toute sa vie, Cyprien Mallorie a été un homme libre : menuisier ébéniste dans une commune proche de Tulle, esprit singulier, cabochard, il ne s’en est jamais laissé imposer par personne. Mais il y a quelques mois, sa femme est morte, et le voici seul dans un village désert. Il a plus de quatre-vingt ans et des crises d’angine de poitrine le terrassent. Cependant, obstinément, farouchement, il refuse d’entrer dans une maison de retraite, malgré l’insistance des ses enfants : ce serait s’arracher à son atelier, à ses amis, à son jeune copain Olivier, un gamin de sept ans, à qui il apprend à lire le ciel, la terre et l’eau. Ce serait s’arracher à ses souvenirs, à ses amours enfuies, à sa vie. Il devra bien un jour, y consentir, mais ce sera pour, très vite, se révolter, s’enfuir de la prison dorée. Tout un hiver, tout un printemps, de plus en plus faible mais toujours aussi fier, il fait front avec la seule affection d’Olivier qu’un destin semblable au sien (la pension) menace. Il est sur le point d’accepter le sort que ses enfants et la société lui destinent, lorsque le rejoint Caroline, sa petite-fille, qu’animent les même passions que lui. (résumé)

Un vieux bougon et même pas sympathique ! Un type ordinaire. Qu’est-ce qu’il croit Gilbert Bordes (l’auteur) ? Que lorsqu’on entre en EHPAD on peut faire un tel foin sans impunité ? C’est du grand n’importe quoi. La vieillesse c’est la déchéance complète et puis c’est tout ! Un roman de terroir sans intérêt. Chez France Loisirs.

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