« Qui voit Ouessant voit son sang »
Soizic, une jeune femme au caractère bien trempé, décide de changer de vie et d’ouvrir une maison d’hôtes sur l’île d’Ouessant, en Bretagne. Mais c’est bien connu : Ouessant se mérite. La vie y est rude et les locaux n’ont pas vraiment le sens de l’accueil avec les gens « du continent » excepté Marie, une vieille dame qui semble avoir pris Soizic en affection. Quelques mois après son arrivée, alors que Soizic commence à s’acclimater à sa nouvelle vie, les Ouessantins apprennent une terrible nouvelle : Marie a été retrouvée pendue ! Mentionnée dans son testament, la jeune femme va se retrouver mêlée malgré elle à des secrets troubles de l’île… Un roman graphique prenant, aux personnages attachants, le tout dans un cadre d’exception au parfum du bout du monde. (résumé éditeur)

Soizic est une jeune femme qui décide de changer de vie et de s’installer sur l’île de Ouessant pour y ouvrir une maison d’hôtes. Elle n’est pas très bien accueillie, sauf par Marie une vieille femme qui est retrouvée pendue quelques jour plus tard. Dans son testament, Marie confie à Soizic le soin de débarrasser sa maison de toutes ces affaires. Soizic se retrouve plongée dans la vie des femmes soixante ans auparavant. Solitude quand les maris partent en mer, viole par des marins de passage, naufrage des bateaux, droits de bris … Ou comment la vie de quelques jeunes filles de l’île a basculer à cette époque.
Une BD de Patrick Weber au scénario et Nicoby aux dessins. Bon, je ne suis pas fan des dessins trop caricaturaux et un peu sombres à mon goût.Une bonne histoire pour adultes publiée chez Vents d’ouest.