« Il y a des ténèbres qu’aucun soleil ne peut dissiper. »
Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L’animal a des yeux humains. Ce n’est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l’Ariège…
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s’empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d’une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau. (quatrième de ouverture)

Dans la nuit noire, un jeune homme, une tête de cerf fixée sur la sienne, s’enfuit dans une forêt. Une route, des phares, le conducteur n’a pas le temps de s’arrêter. Il percute l’animal … qui n’en est pas un. Commence pour le commandant Servaz une enquête où des policiers, des magistrats, des militaires, sont mêlés. Sous couvert de justice, ils veulent mettre de l’ordre dans le pays, s’attaquant aux délinquants qui ont réussi à déjouer les rouages de l’appareil judiciaire. A qui pourra se fier Servaz ? Avec la haine de la population envers la police, les confinements, ces règlements de comptes pourraient mettre le feu aux poudres ! Quant au général Thibault Donnadieu de Ribes, quel rôle tient-il dans cet histoire ?
Une belle suite à la saga des Martin Servaz, de Bernard Minier. Un roman policer pour adultes, ancré dans l’actualité, édité chez XO.
A lire très vite