Gentlemind

New-York, 1940.

Navit, une jeune artiste désargentée, hérite d’un journal de charme quelque peu désuet : Gentlemind. Combative, intelligente et audacieuse, elle s’improvise patronne de presse et se lance le défi insensé d’en faire un magazine moderne. Hantée par le souvenir de son amant disparu sur le front en Europe, elle doit affronter la réalité d’une société américaine en plein âge d’or mais résolument machiste… Un récit profondément touchant, sur trois décennies, du rêve américain au féminin ! (résumé éditeur)

Arch est un dessinateur tellement amoureux de son modèle, Navit, qu’il peut la dessiner dans le noir. Cherchant du travail, il est embauché dans un magazine pour homme ringard : Gentlemind où il présente Navit au propriétaire. Ce dernier en tombe éperdument amoureux, situation qu’Arch ne peut supporter. C’est pourquoi il s’enfuit au Vietnam comme dessinateur de guerre. Au décès de son mentor, Navit hérite du journal et décide d’en faire une publication à la mode. On suit cette évolution  en même temps que les évènements de l’époque.

De Juan Diaz Canales et Teresa Valero au scénario. Et de Antonio Lapone au dessin. Des dessins très anguleux avec peu de couleurs donc assez difficiles à suivre. Une BD pour adultes en deux albums qui se suivent. Mon avis est mitigé !

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.