La vie est un roman

Un jour d’avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn. Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. L’enquête de police n’a rien donné. Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au coeur broyé se terre dans une maison délabrée. Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.(quatrième de couverture)

Comment une petite fille peut disparaître d’un appartement alors que toutes les portes, les fenêtres sont fermées. Impossible. A moins que l’on ne soit dans un roman. Flora va interpeler l’auteur qui écrit son histoire. Comment est-ce possible, c’est du jamais vu. Un auteur est censer mener la barque ! Comment un personnage peut-il prendre le pouvoir ? Il faut dire que lui-même, divorcé, est en train de perdre la garde de son fils ! Il est dans les trente-sixièmes dessous ! Jusqu’au rebondissement final auquel on ne s’attendait pas.

Encore une fois Guillaume Musso se demande ce que c’est qu’être écrivain, comment vient l’inspiration et comment se créent les vies des personnages. Et si lui-même était un personnage de roman, comment s’en apercevrait-il ? Pour Guillaume Musso l’écriture semble être un grand mystère !

L’écriture de ce roman pour adultes et grands ados, édité par Le Livre de Poche, est limpide. C’est livre agréable à lire, étrange avec ce petit soupçon de fantastique comme souvent dans les romans de Musso.

A lire très vite

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