Série : Le chat qui …

Romans policiers de Lilian Jackson Braun, la série des : Le chat qui … comporte énormément de volumes. Le journaliste Jim Qwilleran se retrouve mêlé à des meurtres, des disparitions et chaque fois ses chats siamois (principalement Ko Ko) l’aident à résoudre les énigmes. Dans chaque ouvrage, on se retrouve plongé dans un univers particulier qui est à chaque fois prétexte à décrire un milieu social. Ces romans pour adultes et grands ados, sont publiés chez 10/18 dans la collection grands détectives. Les histoires s’apparentent plus au style d’Agatha Christie que de Maxime Chattam.

Dans chacun des quatre tomes que je vais présenter ici, Qwilleran, qui vient d’arriver dans une petite ville des États-Unis, va déménager, changer de quartier, et se retrouver au sein d’un microcosme différent. Dans le premier tome de la série, Le chat qui lisait à l’envers, Qwilleran fait la connaissance de Koko et se trouve plongé dans le milieu de l’art moderne. Dans Le Chat qui mangeait de la laine, Qwill est nommé responsable du supplément décoration du journal. C’est dans ce tome qu’il fait la connaissance de Yom Yom, la femelle siamois qui va devenir la complice de Ko Ko. On peut lire les ouvrages dans n’importe quel ordre mais c’est tout de même plus sympa de les lire à la suite 🙂 .

Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de rédacteur artistique est une véritable gageure étant donné qu’il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d’un féroce critique d’art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d’un fin gourmet et l’homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K’o Kung – Koko pour Qwilleran – qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l’envers les manchettes de journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c’est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.(quatrième de couverture).

Quand on est reporter culinaire, il faut s’attendre à tout, comme être nommé responsable du supplément décoration du Daily Fluxion ! Introduit dans le milieu raffiné des décorateurs d’intérieur, Jim Qwilleran déniche la maison idéale pour la une de son magazine : celle d’un excentrique collectionneur de jades. Mais le lendemain de la parution, les pierres ont disparu et la femme du propriétaire est décédée. Pour ne rien arranger, le deuxième numéro fait scandale. Suspectant un complot, Jim ne tarde pas à découvrir que même les plus jolis vernis s’écaillent… et que la nouvelle et curieuse lubie de son siamois Koko va le mener tout droit à la solution du crime. (quatrième de couverture).

Chroniqueur au Daily Fluxion, Jim Qwilleran décide d’écrire une série d’articles sur un quartier assez mal famé appelé Came-Village. Avec ses deux chats siamois, Kao K’o Kung, dit Koko, et Yom Yom, il s’installe dans une vieille maison appartenant à un brocanteur, C. C. Cobb, et apprend les pratiques des marchands et des collectionneurs dans le monde étrange de la brocante. Mais lorsque son propriétaire se tue en tombant dans l’escalier d’une maison en démolition où il allait faire de la « récupération », Qwilleran met une fois de plus à l’épreuve le flair de Koko afin de prouver qu’il ne s’agit pas d’un accident. (quatrième de couverture) .

Jim Qwilleran est américain, journaliste, gastronome, ami des chats. Il semble vivre hors du temps, et il résout ses énigmes comme en se jouant, avec un rien d’affectation british. À dire vrai, ce sont ses deux chats, Koko et Yom Yom, des siamois aussi caractériels que lui, qui le mènent toujours à la solution du crime. C’est suranné, délicieux comme un thé arrosé d’un nuage de whisky que l’on dégusterait au coin du feu, en une fin de dimanche pluvieux, un chat lové au creux de l’épaule, bien entendu. (quatrième de couverture).

Dans ce roman, Qwill emménage dans une ancienne faïencerie où toutes les résidents sont de fins gourmets. Il va y retrouver son amour de jeunesse devenue une potière passionnée mais malheureuse en ménage. Quand cette dernière va disparaître, Qwill va vite soupçonner qu’elle n’est pas partie sur un coup de tête mais qu’elle a sans doute été tuée. Son problème, c’est qu’il n’y pas trace de corps !

J’aime assez cette série de romans policier à l’atmosphère assez désuète.

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