Amalia

Amalia est au bord du burn-out. Dans sa famille, où elle s’occupe de sa fille Lili, 4 ans et subit sa belle-fille Nora, 17 ans, ça crie et ça claque les portes, sans répit. Dans l’entreprise où elle est coach, on parle rentabilité, process’, elle perd le sens de ce qu’elle fait. Dans les campagnes alentours, elle voit la terre épuisée par la pollution et à la radio, les nouvelles du monde sont loin d’être rassérénantes. Alors Amalia fatigue et s’épuise, Amalia craque. (résumé éditeur : Dargaud)

Amalia est une femme active dans un monde où tout est aseptisé. Elle s’occupe de sa petite fille, de sa belle-fille (une ado obnubilée par son portable, fan d’une influenceuse mais qui se sent mal dans sa peau) et de son mari (qui ne fait que crier et s’énerve sur tout) Le mari travaille dans une entreprise qui fabrique du pain (enfin ça n’a de pain que le nom !) Il croit au système mais quand le PDG passe sur le fait que le blé est impropre à la consommation et continue à faire du pain, il ne comprend plus ! Amalia dans son entreprise n’entend parler que de performance. A la maison elle est obnubilée par le rangement. Elle fini par faire un burn-out. Lors d’une semaine de repos à la campagne, loin de la ville, ils vont se reconnecter avec la nature et reprendre le temps de faire les choses, avec des produits sains !

Une bande dessinée de Aude Picault, écolo, pour adultes, éditée chez Dargaud. Les dessins sont dans le style nouvelle BD sans cases. Bon, cette BD finit plutôt bien même si le début montre un mode vraiment terrible Est-ce le notre ? Hélas je le crois ! Et ça, s’est désespérant !

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