Nuit

Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l’hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur une plate-forme pétrolière. L’inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d’une technicienne de la base offshore. Un homme manque à l’appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos. Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz.
L’absent s’appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Suivi, épié. Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d’un enfant. Au dos, juste un prénom : Gustav.
Pour Kirsten et Martin, c’est le début d’un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis. (quatrième de couverture)

On retrouve dans ce roman le commandant Martin Servaz (déjà aperçu ICI) aux prises, cette fois, avec Julian Hirtmann, son éternel ennemi. Le fait de n’avoir pas lu les précédents romans où il apparait ne m’a pas gênée malgré les références. L’histoire est prenante mais pas aussi angoissante que dans : n’éteint pas la lumière (j’en frissonne encore 😆 )

Le roman tourne cette fois autour du commandant Servaz, toujours tourmenté. Il se relève affaibli (ou pas ! ) après un coma de plusieurs mois. Est-ce que ça l’a changé ? C’est à ce moment que Hirtmann entre en scène et mène le jeu. Un jeu complexe autour d’un enfant, Gustav. Le fils de Hartmann ou de Servaz ?

Un bon roman policier de Bernard Minier pour adultes édité chez XO.

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