Les aventures de Téo

Téo est un petit garçon. Il n’est pas bien grand ( haut comme trois pommes !). Par contre, Clovis lui, est grand et costaud et pas sympa et vantard … et il ‘drague’ Amanda, la plus jolie fille du quartier .

Dans Téo comme trois pommes, on fait la connaissance de Téo. A la fête foraine, il passe devant une glace déformante, il a l’impression d’être un géant ! Mais Clovis arrive et le fait déchanter. D’autant plus qu’il invite la jolie Amanda au cinéma. Avec astuce Téo arrivera à ses fins et c’est lui qui ira au cinéma avec la belle !

Le croqueur de cafards, c’est Clovis. Hé oui, il n’arrête pas de se vanter pour se faire ‘mousser’ auprès d’Amanda. Mais là, facile de vérifier. Téo et Amanda vont unir leurs forces et mettre Clovis au défit de manger un cafard.

De Fanny Joly, illustré par Mathieu Sapin, les aventures de Thé sont éditées chez Tourbillon. Ces petits romans sont destinés aux enfants à partir de 5 ans. Idéal en première lecture.

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Elmouth : Il n’aime pas, il préfère…

Elmouth est un petit loup vert espiègle qui a des idées bien arrêtées. Sur une double page il explique aux enfants ce qu’il n’aime pas (page de gauche ) et ce qu’il préfère (page de droite). Il y a des oppositions logiques : Il n’aime pas l’automne mais préfère le printemps (on peut le comprendre !). Mais il y en de plus farfelues : il n’aime plus les mouettes, il préfère Super Elmouth ! Pour mieux comprendre, il faut se référer aux images pleines de fraicheurs et d’humour.

De Séverine Millet, publié chez Actes sud junior. Ce petit livre sympathique est destiné aux enfants à partir de 3 ans.

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Cheval Star

La bibliothèque est abonnée au magazine Cheval Star. Pour tout savoir sur la vie des chevaux et l’équitation. Des bandes dessinées, un grand dossier, des tests, beaucoup de photos et de dessins humoristique. Certaines revues sont accompagnées de jeux sur CDRom.

Pour adolescents, ce périodique peut aussi intéresser les adultes.

Nouvelle Édition :

La revue Cheval Star n’existe plus !

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Quel développement pour demain ?

Pendant tout le mois de janvier, l’exposition : Quel développent pour demain, prêtée par la médiathèque départementale, est installée dans la salle de réunion jouxtant la bibliothèque. 15 panneaux et une cinquantaine d’ouvrages illustrent l’état de lieux de notre planète et ses perspectives d’avenir. Des livres techniques ou plus artistiques (comme les merveilleux ouvrages de Yann Arthus-Bertrand et de Nicolas Hulot avec leurs splendides photographies) peuvent être empruntés.

Christine et Philippe de la MDHM installent l’exposition

Cette exposition est tout public et l’entrée est libre, il est encore temps d’en profiter.

Lumières de Haute-Marne

Éric Girardot a encore frappé. Lumières de Haute-Marne est un livre de photographies de cette belle région qu’est la Haute-Marne. Une région comme les autres. Avec des paysages variés, qui se dévoilent au fil des saisons, des lieux, des instants.

Des instants fugitifs tels qu’on les rencontre quelques fois : « tiens, si j’avais mon appareil !!!!!! » Mais voilà, on n’a jamais notre appareil ! Mais Éric Girardot a toujours le sien, et il sait si bien fixer l’instant fragile qui ne fait que passer. Alors pourquoi s’en priver !

Publié aux éditions Abbaye d’Auberive, un livre sans paroles, il n’y en pas besoin. Juste l’indication des lieux. A voir et à revoir.

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Quelles couleurs !

Ah ça, Régis Lejonc nous en fait voir de toutes les couleurs ! Avec cet album qui est une sorte d’imagier pour tous les âges, tout le monde y trouve son compte. Les plus jeunes avec les images, les dessins et les photos. Les adultes avec les commentaires, les clins d’œil humoristiques, les références qui ne peuvent être comprises que par les ‘grands’. Ce livre est présenté par les éditions Thierry Magnier comme

un nuancier de douze couleurs, unique et très ludique, entre livre d’artiste, album illustré et imagier… Pour que chacun découvre quelle est sa couleur préférée, du rouge coquelicot à l’ocre poil de chameau !

Et des rouges, on a le choix entre 37 !

Si le monde était sans couleurs, il ne serait pas noir et blanc, comme dans les vieux films. Si le monde était sans couleur, il serait bêtement invisible à nos yeux.

Explique Régis Lejonc dans sa préface. Même la littérature (ou le sens commun !) associe les couleurs avec les émotions et une foule d’instants de la vie quotidienne.

Ce livre est tout simplement inclassable. Mais une chose est sûr, il ne faut pas passer à côté. D’abord parce qu’il est vite parcouru puis parce qu’on passe un bon moment à le feuilleter. Vous voulez voir de quoi il retourne ? Allez vite jouer avec les couleurs sur le site des éditions Thierry Magnier consacré à ce livre ICI.

Bref, j’ai beaucoup aimé !

Un livre pour tout le monde.

A lire très vite

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En outre, une exposition consacrée à Quelles couleurs de Régis Lejonc sera visible au Musée d’art et d’histoire de Langres entre le 22 février et le 7 mars (vous avez une prolongation de deux jours par rapport au projet initial, veinard !). Cette expo sera enrichie des productions en art plastique des élèves des écoles de langroises. Renseignements pris, l’entrée est gratuite et ouverte à tous, alors, allez-y en famille. Voici une bonne occasion de faire une sortie commune (tous les jours de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00, sauf les mardis). Un atelier création dessin et image est prévu pour les jeunes entre 11 et 15 ans à la bibliothèque de Langres le 24 février de 14h00 à 16h00. Puis, à partir de 17h00, Régis Lejonc dédicacera ses livres à la nouvelle librairie La Hallebarde. Des rendez-vous à ne pas manquer vu l’activité de cet illustrateur qui sévit autant dans la littérature enfant que dans la publicité et la bande dessinée!

Quintett

Quintett (ou Couinn’tett comme on dit à Nouillorque !) est une bande dessinée pour adultes qui aiment l’Histoire et les intrigues. En six tomes, la série est complète.

L’histoire principale se passe durant l’automne 1916, à Pavlos, sur une base aérienne neutre de Macédoine.  Mais les derniers tomes nous entraîneront jusqu’à nos jours.

Afin de distraire les troupes françaises et les autochtones, le commandant de la base décide de former un quintette. Le premier tome nous raconte l’histoire du point de vue de la chanteuse, Doras Mars. Avec le second, on voit les évènements vécus par le violoniste, Alban Méric. Élias Cohen, c’est le clarinettiste et sa vision des choses est encore différente. Nafsika Vasli est la locale du groupe avec son instrument à corde.

Les personnages se croisent, se rencontrent, chacun vivant des expériences différentes, des tragédies dont ils ne sortiront pas indemnes.

C’est avec le cinquième tome, la chute,  que l’on comprendra le fin mot de l’histoire. En 1932, alors que tous avaient tenté d’oublier Pavlos, voilà que des lettres réapparaissent, des indices, de nouvelles énigmes. Mais qui manipule qui ?

Amour, trahison, chantage, meurtre … et si tout cela n’était qu’une mise en scène. Un sixième tome hors série, la colline aux adieux, se passe en 2004. Il revient sur certains passages de l’histoire, sortant encore d’étonnants points obscures de l’ombre. C’est aussi l’occasion d’apprécier des ébauches du scénariste et des illustrateurs.

Ah oui ! Car si le scénariste, Frank Giroud, est le même pour toute la série, le tome 1 est illustré par Cyril Bonin, le second par Paul Gillon, le troisième par Steve Cuzor, le quatrième par Jean-Charles Kraehn, et le cinquième par  Giancarlo Alessandrini. Le dernier est collectif. Ce changement de dessinateur accentue encore les différentes perceptions des évènement par les protagonistes.

Il est recommandé de ne pas feuilleter les deux derniers tomes avant de lire les autres pour ne pas déflorer les clés des énigmes.

Cette série est éditée par Dupuis.

Pour Adultes.

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